Je filme pour être en lien avec le monde, pour être au monde, pour le vivre ; pour plonger dans des images, des moments, un temps au ralenti et en gros plan, un temps de la petite enfance retrouvé dans l’œilleton de la caméra.
Je filme pour exprimer ce que je ne peux exprimer autrement avec des images et du son, partager des sensations.
Je filme pour réparer, soigner ; mes films sont des tentatives de sortilèges, pour réparer mes morts, sortir des malédictions et participer à ma petite mesure à un réenchantement du monde par des coups de baguettes filmiques.
Filmer est, pour moi, un acte de vie.
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